On joue avec le feu mais c'est pas pour a qu'on a chaud.

« Victoire & Anthony » Vic' & Tony

Les mêmes. Ce sont tous les mêmes. Dans ce foutu métier, dans le show-business, ce sont tous les mêmes. Hypocrites, lèches bottes, véreux... Ils se ressemblent tous; il n'y en a pas un pour racheter l'autre. Dans ce monde impitoyable, ce sont tous des requins; il faut bouffer au lieu de se faire bouffer. Il n'y a aucune égalité, seule règne la loi du plus fort. Si tu es trop faible, si tu baisses ta garde une seule seconde, tu te fais dévorer tout cru. Que ce soit les traqueurs, les flics, les autres révolutionnaire du bloc alors que toi tu te débrouille seule... Si tu n'es pas capable de l'ouvrir tu n'ira pas bien loin. Mener une vie seule, faire des agressions, des cambriolage seule, ce n'est pas de tout repos et il faut savoir le faire et surtout se défendre et embobiner le plus intelligent des hommes.. Si je n'avais pas eu ce sale caractère, je me serais fait bouffer en moins de deux et je serais en tôle quoi que, je serais surement entrain de dire amen au gouvernement. Je dois une fière chandelle à mes parents, finalement. Car c'est grâce à eux, en fin de compte, que je suis devenue une rebelle inbuvable. S'il ne m'avaient pas abandonné je serais surement sage et bien élevé. Ce qui m'a élevé et les seules lois que je connaisse ce sont les lois de la rue alors, Merci les parents lâche !
Le plus triste dans tout ça, c'est que ce rôle n'en est pas resté un bien longtemps. Je jouais très bien la comédie, au début, mais maintenant je n'ai plus besoin de me forcer pour être manipulatrice, agaçante et presque insupportable; je le suis naturellement. Et c'est amusant, en fin de compte; faire la une des tabloïds, régaler les flics. Je prends un plaisir malsain à faire jaser la presse à scandales et faire tomber les contrats sur a tête. C'est devenu un véritable sport. C'est qu'il faut courir pour semer un de ces lapins de traqueurs. Après chacune de mes frasques, je vais mettre mon nez dans les dossiers des flics, histoire de voir quel paquet de conneries mes amis ont encore raconté à mon sujet. Certains s'offusqueraient de ce qu'ils peuvent lire dans les journaux sur eux, pas moi; je m'en amuse. Je suis une catwoman selon eux. La presse parle de moi, plutôt la Fouine. Autant en rire qu'en pleurer; surtout que je provoque volontairement tous ces scandales. Que voulez-vous, c'est tellement drôle...
Aussi loin que je me souvienne, je n'ai jamais eu affaire à un seul flic sympathique, poli, ou bien ayant le cran de me tenir tête. Soit ce sont des cons qui te donnent des ordres sans prendre en compte ton avis, soient ce sont des lèche bottes incompétents et trouillards, trop intimidés par ma réputation. Je ne suis jamais tombée sur quelqu'un d'agréable, de décontracté, compétent et professionnel. Enfin, jusqu'au jour où j'ai rencontré un traqueur : Mad Dog, mon little dog. Je reste insolente car en fait j'ai juste peur de m'attacher, je crois que c'est pour ça que la comédie est devenue vraie, on m'a tellement abandonné que cela m'a forgé le caractère.
J'avais eu son numéro par une " fouine" m'ayant vanté ses mérites. Elle était soi-disant très douée, agréable et professionnelle. Soit. Je suis allée jeter un coup d'oeil à son travail, et fut très agréablement surprise; ses photos ne ressemblaient en rien à ce que j'avais alors vu jusque là et ses articles foutaient plus le bordel qu'autres choses. Je décidais de la contacter, pour lui proposer de me photographier. Elle accepta avec joie, et c'est ainsi que débuta notre collaboration. Je fus tout aussi surprise par la personne que je l'avais été par son travail; cette journaliste sortait vraiment du lot. Déjà, elle n'avait pas peur de moi, ce qui me changeais des autres trouillards auxquels j'avais d'habitude affaire, mais elle n'était pas lèche botte, et était tout ce qu'il y a de plus gentille; même adorable, un vrai bisounours. Je me surpris à me prendre d'affection pour elle; cela ne m'était pas arrivé depuis... Que Angel m'avait abandonné. Je ne me rappelle même plus de la dernière fois où j'ai éprouvé ne serait-ce que du respect ou de l'affection pour quelqu'un. Mais la fouine était simpatoch mais revenons à notre Mad Dog... Il est vraiment différent. Je ne saurais trop expliquer les raisons qui me poussent à l'apprécier et à faire preuve de sympathie envers lui, voir même à le provoquer et faire attention à ses réactions envers moi, hormis ce côté non conventionnel dans son travail... Je crois qu'il me me fait voir tout ce que je suis aujourd'hui, on se complète et pourtant qu'est ce qu'on se déteste. Cette autre Vic', celle qui semble maintenant faire partie d'une vie antérieure, elle serait déjà morte...

Je fus tirée de ma rêverie par le barman m'apportant mon verre. C'était le troisième de la soirée. Enfin, de la demie-heure... Cela ne faisait pas longtemps que nous étions arrivées au Webster, mon petit cul et moi. Une soirée spéciale était organisée, une soirée de battle de danse et j'y avais été conviée; La fouine était la à ce qu'il parait. Quelqu'un me demandait. Tony ? C'était la première personne à laquelle j'avais pensé; non seulement parce que c'était le seul que j'avais vu ces derniers jours et que je 'lavais vraiment froissé avec ma fuite, mais également parce que cette soirée allait regorger de fille mieux sapée les unes que les autres, et que cela pourrait lui permettre de trouver quelques jolies cul à mettre dans son lit. Quelle âme charitable je faisais... Cela n'était pas dans mes habitudes. D'ordinaire, soit j'y serais allée toute seule, soit j'aurais amené une bande du bloc pour faire gagner du fric à tout le monde, mais ce soir j'avais besoin de ce fric, fallait que je paie ce foutu loft. Mais depuis que je connaissais Tony.. Je me transformais en tigresse; enfin, presque... Et juste avec lui. Avec les autres, je restais Vic' celle qu'on prend pour un garçon, la dure la solitaire mais la douce et gentille avec Angel, Vic' la petite abandonnée et survoltée. Cette fille charmeuse, cette cambrioleuse insupportable, cette révolutionnaire unique qui n'était pas un plouc qui disait oui oui aux ordres du bloc, cette pétasse imbuvable, qui aime joué de son charme, alcoolique presque, et j'en passe... Je ne tenais pas à ternir ma réputation; il ne faut pas exagérer. Être aimable, certes, mais seulement avec lui, quoi que nous ne nous connaissions pas assez. De toutes façons, il n'y avait qu'elle pour mériter ma sympathie et mon respect, c’était LE traqueur mais j'étais aussi LA révolutionnaire, il fallait qu'ils m'en face voir plus pour que je lui montre le respect que je peux éprouver pour son boulot.

Je finis rapidement ma tequila, et m'empressais d'aller rejoindre une pétasse sur la piste de danse. Je la cherchais du regard plusieurs minutes avant de finir par la trouver. Elle était dans son élément c'était déjà mouillé le maillot blanc avec les seins à moitié nus, une tenue qui ne la mettais pas en valeur. Je fis un signe au DJ Que je connaissais bien et il me mit ma musique. Sans hésitation je dégagea la pétasse de son trône et me mit à danser aussi souple que sexy. J'avais un slim très moulant bleu jean un corset noire et des talons, comme à mon habitude. On pourrait croire que ce n'est pas pratique pour danser mais j'étais souple et carrément exquise à ce que j'entendais dans la boite. Je finis ma danse et la fille descendit dégoutée, tandis que je prenais mon butin.

Les mains parcourant son visage. Frottant, frénétiquement ses yeux. Un mal de crane le tiraillait. Affalé dans son canapé, un verre d'alcool à la main, un paquet d'aspirine dans l'autre. Tony se trimbalait cette saloperie depuis des heures. Il devait sortir ce soir. Ceci expliquait ses habits, un pantalon et une veste de costume noir et un tee-shirt colle V blanc. Le jeune homme avait toujours en tête la nuit qu'il avait passé avec cette révolutionnaire. Toujours un goût amer de sa fuite au réveil. Pourquoi ? Elle lui avait pourtant mâché le travail, au moins elle n'allait pas raconter partout que Mad dog l'avait laissé filer. Mais pour autant ce qui le tracassait c'était que d'ordinaire c'était lui qui foutait les poufs dehors et pas les poufs qui partaient. Surtout pas après une nuit comme celle-ci. Bien sûr elle avait simplement voulu sauver sa vie. Elle avait enfin prit conscience qu'elle avait Mad dog comme adversaire ! Du moins ça, ce que pensait le Chasseur.

La soirée avait déjà commencé. Tony avait réussi à se débarrasser de ce mal de crane. En route, il arriva à la boite, à bord de sa monture sportive. De quoi faire première impression auprès des jeunes filles naïves présentes ici. L'ambiance à l'intérieur était survoltée. Ici quasiment tout le monde connaissait le jeune homme. Et à peine était-il arriver dans l'espace VIP que déjà il avait trois jolies minettes aux bras. Voilà maintenant cinq minutes qu'il passait son temps à saluer des gens et il n'avait même pas bu un verre. Il s'avança pour faire singe au barman d'envoyer une bouteille à l'étage, quand il aperçu la battle qui avait lieux sur la piste. Et qu'elle surprise de voir miss Silveira se déhanchait. Un sourire se dessina sur son visage. Il s'empressa alors de rejoindre la piste de danse, en bas. Se mêlant à la foule avec discrétion, il s'approcha de Vic. Sans s'y attendre, il lui attrapa le bras, la fit tourner sur elle-même et vint la coller contre lui.

TONY - Tu m'accord cette danse...

Il commença à danser avec elle. Il la maintenait sous son influence, pour qu'elle ne puisse fuir tout de suite. Aussi incroyable, que cela puisse paraître le jeune homme se débrouillait pas mal en danse.

TONY - Ce n'était pas très gentil de foutre le camp sans dire au revoir. Surtout après cette nuit. Je veux bien t'accorder mon pardon, mais il va falloir en mettre du tient, poulette !

Je souris et me mit à danser contre mon chasseur préféré. Pas classique le coup de je t'attrape le bras pour me demander une danse. Avec lui il suffisait de demander, bien que..
Je me déhanchais contre lui, j'étais à tomber et lui aussi dans son tee shirt blanc moulant sa musculature. Je posa mes mains sur son torse et ne répondis pas tout de suite à sa provocation. La nuit que nous avions passée me rendait encore brulante rien que d'y penser. Je descendis ma main jusqu'à sa ceinture en maintenant son regard.

- On ne me fou jamais dehors Little Dog t'auras pas eu ce plaisir là mon amour.

Je l'embrassa avec envie et grand désir car les lumières s'étaient tamisée. Doucement je lui rappela des moments de notre nuit avant de reprendre ses lèvres. Et en un flash noir je partis de ses mains qui s'étaient desserrées vu mes propos et mon comportement. Je partie dans les toilettes. Son odeur, sa voix, son touché, il me rendait dingue au moment où j'arrivais au milieu des toilettes j'entendis la porte s'ouvrir et ne pas se refermer avec soins comme chaque fille fait. Je me mit à rire d'une façon sexy et légère.

- Roh je sais que tu m'aimes mais me suivre jusque dans les toilettes quand même.. T'as envie de remettre la partie ? Mon petit corps te manque ?
- C'est ton cul qu'on aime et ce qui nous manque c'est ce putain de fric que t'as au dessus de ta tête !

Trois hommes me tombèrent dessus, plutôt coloss les traqueurs. Armes blanches à la main je réussis à me défendre pendant quelques temps avant qu'une homme ne m'attrape et me colle contre le lavabo en ayant les mains trop baladeuses... Je me débattais mais un des mecs me tenait tellement fort que je me demandais comment j'allais me sortir de là cette fois ci !

Enlacé l'un à l'autre, on aurait presque pu les prendre pour un couple. Enfin c'était sans compter la réputation de Don juan des deux personnages. S'il y avait deux personnes qui n'étaient pas faites pour entre en couple, c'était bien ces deux-là !

Tony était totalement conquit par le côté entrepreneur de la jeune femme. Sa main sur son corps était un ravissement. S'il avait pu la prendre ici, tout de suite, au milieu de cette foule, il l'aurait fait. Bien sûr il aurait pu ! Cela ne l'aurait pas déranger, mais il semblait que mister Howkins avait tout de même un minimum de retenue. Ce petit surnom avait décidément le don d'agacer le jeune homme. Le tendre baiser lui oublier tout ça. Il rendit aussitôt ce baiser à la belle. Ces baisers étaient à la fois doux, passionnés et bestiales. Mais encore une fois Vic en profita aussitôt pour fuir de son emprise. Encore une fois ! Tony resta planté sur la piste quelques secondes, les yeux fermés. Il porta sa main pour se frotter doucement les yeux, exaspéré.

TONY - C'est pas vrai, c'est une vraie puce celle là, elle tient pas en place...

Il s'avança doucement vers l'endroit où elle était partie. Il ne savait pas très bien où elle se cachait encore. Mais la vu de trois lourdauds entrant dans les toilettes des dames, l'intrigua... énormément. Il se dirigea alors, toujours aussi calmement vers l'endroit. Et là surprise ! La belle Vic était emprise avec ces trois hommes. A cette vu, le regard de Tony il devint beaucoup plus sadique. De la même façon un immense sourire parcouru son visage. Il s'approcha un peu plus d'eux. Un des hommes s'approcha de lui tandis que les deux autres tenaient fortement Vic.

TONY - t'es qui toi ?! Qu'est tu viens foutre là ?!!

TONY - Désolé messieurs, mais cette proie est à moi...

Il porta sa main à son col et le baissa légèrement pour laisser paraître un morceau de tatouage, qui ne laissait aucun doute sur son identité. Le gros lard du comprendre, mais devait être un peu trop con, car il se lança sur lui, couteau à la main, comme un imbécile. D'un coup rapide et précis, Tony se décala tout en pivotant sur lui-même. Il attrapa le poignet de l'homme et le retourna pour lui faire lâcher l'arme. Il l'attrapa à la nuque et d'un coup violent, envoya son visage contre un lavabo, qui explosa sous la violence du choc !

TONY - Au suivant !

L'expression de Tony était devenue folle ! Il avait un regard sadique comme jamais. Une énorme flaque de sang gisait par terre. Un second homme se lança sur lui, dans un cri de courage. Il envoya des coups de couteaux dans tous les sens ! Il finit par avoir Tony au niveau du torse, déchirant ainsi son tee-shirt. Tony se mit à rire avant d'attraper l'homme au col et lui envoya un coup de crane violent. Il retourna le couteau contre lui et lui enfonça plusieurs fois dans l'estomac avant de le balancer dans une cabine de toilette. La tuyauterie explosa et de l'eau se mit à giclé dans toutes la pièce. Tony prit quelques secondes pour frotter son tee-shirt mais, cela ne servi pas beaucoup, il fut rapidement mouillé. On pouvait apercevoir le sang de l'entaille qui laissait une grosse trainé rouge sur son tee-shirt blanc.

TONY - C'est fou comment on s'amuse ! On continu !

Tandis que Tony s'occupait des deux autres je me faisais le salop qui avait eu les mains baladeuse, un coup deux trois, une entaille au niveau de ma blessure par balle de ma dernière escapade avec Tony. J'eus mal et animale comme jamais dans un cris " espèce d'abrutis " je lui donna un coup de talon dans le thorax si fort qu'il alla se choquer contre le mur dans le dos et tomba à quatre pattes et je finis par un gracieux mais violent coup de pied dans la tête ou plutôt au niveau de la nuque qu'on entendit craquer.

- Dis moi Tony, après les flics et les chasseurs de primes tu vas m'en ramener combien ? Je savais pas que t'étais partageur.

Je fouilla les mecs un par un et trouva une arme. Je tira une balle dans le genou gauche de chaque homme. Pourquoi le genou gauche ? Cela signifiait autre fois que la prochaine balle sera dans le coeur et cela permettait au combattant de ne plus tenir debout, souvent ils finissait la jambe coupée par la une infection, c'était Mon signe. Chaque traqueur qui avaient été trop violent ou pervers avec moi avait un genou éclatée par une balle.
Je passa l'arme sous l'eau du tuyau et l'essuya avec mon tee shirt avant de le jeter par terre. Je pris un couteau positionner dans mon décolleter et écrit un Vic sur le torse de chaque homme assez profondément pour qu'ils gardent une trace toute leur vie mais assez en superficie pour ne toucher aucun organes vitaux. J'étais animale, précise, en me battant j'étais souple, gracieuse, j'évitais les coups comme si je dansais, je me courbais, me retournais, agile et féline j'étais une véritable tigresse et mes yeux dorés montrait ce coté animal et rancunier que j'avais envers les chasseurs. Je m'approcha de Tony et déchira son tee shirt. Je souris.

- Oh c'est dommage ! dis je ironiquement Tu dois encore plus être en colère Little Dog puisque je t'ai filé entre les mains mais j'aurais mieux fait de rester entre tes doigts agiles cela m'aurait évité ce petit carnage mais je regrette pas.

Tout en parlant je parcourais son torse de mes ongles et embrassais son cou. Il fallait croire qu'entre nous c'était pire que l'alchimie de deux aimant. Le taux de testostérones étaient monté au maximum tandis qu'une fille voulait rentré, je sortis la tête.

- C'est fermé panne de tuyaux veuillez allez tiré votre ticket chez les hommes ça vous fera une occasion de vous faire prendre sale connes !

J'avais été agressive et mesquine en les regardants de haut ces deux poufs qui dansaient si souvent à la battle. Je revins vers " mon homme " et colla mon coeur mouillé contre le sien. Je compressais avec ma main sa plaie sur le torse et dans un silence excitant je frôlais ses lèvres et plongeais mon regard doré dans le sien si envoûtant.

Tony venait à peine d’en finir avec l’autre que déjà il était prêt pour le derniers. Mais la jeune femme semblait se débrouiller très bien toute seule. Il la regarda faire son petit numéro, marquée son territoire comme une bête. Elle prenait bien soins de montrer qui elle était. Mais une idée traversa son esprit. N’avait-il pas envoyé au tapis deux de ses mecs ? Il resta silencieux, le sourire aux coins des lèvres, le regard plongeait dans celui de la belle tigresse. Il laissa la jeune femme parcourir son corps. L’endroit était entièrement trempé et des jeunes filles allaient rentrée. Heureusement Vic les accueilli avec…courtoisie ! Elle devait avoir beaucoup d’amie dans ce club d’après cette petite démonstration de politesse. Elle ressemblait de plus en plus à Tony. Alors qu’elle parcourait son corps, frôlant de temps à autres ses lèvres, Tony la stoppa net et tout en la regardant dans les yeux lui dit :

TONY - En faite t’es une gratteuse… Ton ptit numéro de sur ces mec, c’est… pitoyable. Il ricana N’oublie pas que j’ai eut deux de ces mecs ! Et que sans moi, tu serais dans un joli pétrin ma belle !

Il avait toujours ce petit sourire qui énervait tous le monde. Et sans prévenir il souleva la jeune femme en passant ses mains sur ses fesses et la posa sur un lavabo. Il l’embrassa langoureusement. Et parcourra son corps avec ses mains, si baladeuse. Il s’arrêta net sur l’endroit ou elle venait d’être blessée.

TONY - C’est moche ça ! On dirait bien que t’es plus aussi agile que tu ne le crois…

Je me laissa porter sur le lavabos en l'écoutant et un sourire agacée aux lèvres. Il était de plus en plus tout ce que je détestais. Je repris sa phrase en mettant le doigt sous sa blessure.

- C'est moche ça on dirait que t'es plus aussi agile que tu le croyais.

Je souris. Le mec m'avait eu par surprise en sortant son couteau caché dans sa main au dernier moment. Il fallait que je m'en souvienne de celle la ! Je rendis le baiser volé à Tony et serra bien mes jambes autour de sa taille pour qu'il ne puisse en aucun cas partir.

- Une gratteuse ? C'est un signe espagnol mon vieux comme quoi ceux qui nous agressent ne doivent pas s'y reprendre à deux fois. Oh et je suis navré t'as peut être envie de marqué Mad Dog sur leur torse ? Merci de m'avoir aidé à me sortir de là..

Je le bascula il atterrit sur le carrelage violemment, moi assise sur son bassin je le regardais et les yeux blasé ainsi qu'un sourire arrogant je chuchota près de ses lèvres.

- Même si j'aurais très bien su géré la situation tu es juste arrivé un peu trop vite.

Je me redressa rapidement le laissant dans l'eau. Je passa mes mains dans mes cheveux mouillé et me dirigea vers la boite, la plaie était purement superficiel et cela n'était pas flagrant quand j'étais dans la pénombre. Je perdis mon sourire agacée du fait qu'il me prenne pour une conne ou pour un jouet.

- Vas te chercher une autre conne pour faire mumuse Tony. Je suis plus de la partie. Et puis pense ce que tu veux de moi je m'en fous mais alors à un point..

Sur ces mots je disparu derrière la porte pour monté au coin vip où m'attendait des amis et mon butin. Seulement je ne savais p)as que ces amis étaient les amis de Mad Dog. Je m'assis et pris un verre de vodka pour commencé la soirée entendant ces hommes lourds essayant de me faire la cour en me parlant d'exploits vu ma danse de tout à l'heure. Je profitais de leur fric sans les écouter, j'avais les yeux plongé dans la piste de danse à regarder les poufs danser en mode vibreur.

La sourire au lèvres, Tony aurait dû se douter que la jeune « gratteuse » allait reprendre sa moquerie contre lui. A la seule différence que pour lui les blessures et la douleur n’avait pas d’importance, le tout était de s’amuser ! Ce qui est sur c’est que le chasseur avait touché un point sensibles de la belle, lorsqu’il parla de son petit rituel. A sa réponse, il jugea qu’elle n’avait pas aimé la moquerie pure et simple du jeune homme.

TONY - Contrairement à toi petit gratteuse, je n’ai nul besoin qu’on sache que c’est moi… je suis déjà assez crains pour ça ! Il se retourna, avant d’ajouter Et je ne t’ai pas sortie de là… j’ai juste préservé un investissement sur le long terme… avec le temps ta prime augmentera…

Il eut juste terminé sa phrase que la jeune femme le bouscula avant de le basculer à terre. Elle semblé, bizarrement, en colère. A sa remarque il ricana par pure arrogance envers la belle Silveira.

TONY - Oui… j’ai bien vu ça.

Elle était vraiment en pétard maintenant et cela amusé énormément Tony. Elle quitta la petite pièce dans une remarque cinglante. Tony resta un moment sur le carrelage humide, un sourire sur le visage. Il était très fier de lui sur ce coup. Il resta bien cinq bonnes minutes avant de se décider à se relever. Son tee-shirt était pas mal déchirer par la Vic. Il grimaça, avant de se rappeler qu’il avait laissé une veste de costume dans le carré VIP. Il se refit une beauté, prenant quelques secondes pour s’admirer. Avant de rejoindre la piste bruyante. Il monta rapidement aux coins VIP et aperçu sans trop de surprise sa belle, le regard perdu sur la piste de danse. Il s’approcha derrière elle et lui susurra à l’oreille.

TONY - On n’arrive plus à ce passer de moi, petite gratteuse ?

Il frollait furtivement le postérieures de la belle avec sa main et retira son tee-shirt devant toutes ces furies en manques d’amour ou d’autre chose et enfila sa veste, sans la refermer pour faire languir ces demoiselles et faire rager ces messieurs. Il s’adossa à la rambarde juste à côté de Vic.

TONY - A vrai dire la soirée de ce soir est nul à chier ! On aurait mille chose plus intéressante à faire tout les deux ! … Mais comme tu la si bien dit, je vais me trouver une autre conne… Bonne soirée Vic

Il lui fit un clin d’œil même si elle ne le regardait pas et partit en direction de la piste, surement pour sortir. Une horde de fille aux fesses…

Je souris à son clin d’œil et son meilleur ami commença à me parler de lui, j'en apprenais donc des choses sur Mad dog. Après quelques tequila, je lui demanda de sortir, nous allions donc un peu plus loin où j'avais mon audi et je le plaqua à la portière en l'embrassant alors que j'aperçus Anthony nous regardant, l'air pas super content. Je souris et continu ma drague flagrante tout en jetant des coups d’œil très discret à Tony et son visage avait vraiment l'air mécontent. Je continuais mon jeu, jamais ça, le rendre jaloux et en colère. Je le vis alors s'approcher et son meilleur ami m'embrassa comme un dieu avant d'aller rejoindre son ami et ça avait l'air de se bousculer. Toute les poufs formaient un cercle et les gens vinrent. Je ne sais pas ce qui se passait mais cela me ravis. Je n'allais pas attendre comme tout ces gens de voir la fin de ce combat de coq et je monta dans ma voiture, égo flatté par ce combat. Je roula rapidement entre les voitures et me gara en bas de mon immeuble. Je monta tout en haut. j'avais de pleins pieds tout l'étage en haut de l'immeuble. J'avais un joli loft et ma pièce secrète, celle portée sur le meurtre de Nicole et d'autres personnes. Le gouvernement avait prit des nettoyeurs voilà à quoi j'en venais comme conclusion, mais des nettoyeurs fidèles pas ceux comme Tony qui choisissent les plus gros poissons. Je ne savais pas qui c'était mais j'étais prête à parier qu'ils allaient toujours opéré la nuit et bientôt se voir infiltré le bloc. La porte tambourina violemment. Je pris mon arme que j'avais dans mon bureau et le chargea en désactivant la sécurité. J'ouvris la porte, le canon pointant la personne cachée par la porte. Un faut pas et une balle se logerait quelques part dans son thorax. Puis je vis Tony je souriais d'une manière fière et me mordit la lèvre.

- Besoin de quelque chose Little Dog ?