Des présentations s'imposent... [HOT]

La pluie ne cessait de tomber sur la cité des Anges. L’atmosphère était pesante dans la grande villa. Tony était assis, torse nu, dans un fauteuil face à une grande baie vitrée, donnant sur Los Angeles. Un verre de scotch à la main. Dans sa chambre se trouvait la Victoire, voilà près de 24h qu’elle avait perdu connaissance et pour des raisons encore inconnu Tony ne l’avait pas encore livré au gouvernement. Il se contentait d’attendre silencieusement. Il avait fait appel à un ami à lui pour faire les soins sur la jeune femme. Par simple mesure de sécurité il avait prit soins de fermer toutes les issus et d’attacher la jeune Silveira.

Le jeune garçon c’était mit dans un sacré pétrin en tuant tout ces policiers, ça n’allait pas plaire du tout au gouvernement. Mais il n’avait que faire de ça, le gouvernement ne représentait rien à ses yeux, la révolution non plus d’ailleurs, pour lui seul l’argent et la vie avait une importance. C’était un personnage très énigmatique malgré tout, personne n’avait réussi à percer sa carapace. Ce mur d’arrogance et de vanité n’était pourtant pas indestructible. Un bruit ce fit entendre dans le calme plat de la villa. Tony tourna furtivement la tête vers sa chambre. Il se leva et se dirigea tranquillement vers l’endroit, attrapant au passage une assiette posée sur la table.

TONY - T’hiberner ou quoi ?! C’est con pour toi… poulette. Le repas a refroidi…

Il posa l’assiette sur la table de chevet prêt du lit et prit place sur une chaise non loin du lit. Un regard froid parcourant son visage. Il était d’un sérieux glacial.

TONY - Pas très résistance tout ces révolutionnaires dis donc… En tout cas j’espère pour toi que t’apprécie le lit parce que la ou je vais t’emmener ça risque d’être rare… mais tout à un prix sinon…

J'ouvris les yeux. Ma vue fut d'abord flou avant de s'éclaircir. J'étais dans un grand lis confortable une chemise sur moi et les pieds et les mains liés. Je savais chez qui j'étais. Tony. Doucement je défis mes mains et enleva mes pieds en mettant la corde au bord du lit. Elle tomba et le chasseur s'amena. Il posa une assiette avant de reprendre cet air froid et arrogant. Je pris l'assiette et mangea. C'est vrai c'était froid mais j'avais vécu dans la rue et manger froid était une habitude je ne répondis pas à ses questions. Je finis l'assiette et la déposa sur la table de chevet, là où elle était avant que je ne la prenne. J'essaya d'inspiré un grand coup quand une douleur m'arracha un cris haussé par la douleur quand je voulus bouché l'épaule. Je leva mes yeux doré vers ceux de Tony. Je souris en coin avant de rétorqué ironiquement.

- Je savais pas que c'était toi qu'apprenais aux flics de tirer !

J'étais contente de m'en être sortie. Je me leva et passa ma main dans mes cheveux. Je m'avança vers lui, chemise déboutonnée en haut ce qui me faisait un beau décolleter et juste un " bout de ficelle " en bas. Je lui déposa un baiser aux coins des lèvres en souriant. Je chuchota sensuellement à son oreille un merci.Je sortie de la chambre ensuite et ôta le bouchon en verre de la bouteille de scotch. Je me servis un verre tout en le regardant.

- Le merci c'est de m'avoir sauvé, t'aurais pu me balancer dans mon état à ton patron bien que ça aurait fait baisser la prime je me trompe ? Alors y a pas vraiment de merci qui tienne.. Mais merci d'avoir pris soin de moi même si j'aime pas ça. T'aurais du me tabasser j'aurais finis par me réveiller et retirer les balles de mon corps. J'aurais pris une douche, on se serait envoyé en l'air puis j'aurais voulus m'enfuir on se serait battus et je t'aurais échappée.

Je bus cul sec mon verre de scotch avant d ele regarder.

- N'empêche tu as raison. Les résistants c'est n'importe quoi. On résiste tous. Un combat ça se mène seul pas à dix mille. Et le gouvernement quelle connerie. Des abrutis ils creusent leur tombe, je suis sûre ils dorment même dedans. Mais quoi ? Se soumettre n'est pas la meilleure des solutions. J'ai pas de camp, chacun son combat, j'ai le mien j'aide juste le bloc et autrement je sauve mon petit cul des affaires que je mène. Tu vois mieux que les résistants..

Je m'avance alors vers lui faisant planer le silence et pose mes mains sur les accoudoirs de la chaise il a une très belle vue.Je plante mes yeux dans les siens, je pose un genou sur le sien et approche mon visage du sien.

- ... Je fais beaucoup de remue ménage à moi toute seule tout comme toi.. Tout ce qui importe c'est de sauver sa peau et de vivre pas vrai Anthony ?

C’était bien la première fois qu’une personne avait assez de chance pour obtenir un traitement de faveur de la part du jeune homme. Et qui plus est elle le remercier du moins littéralement. Tony ce fichait éperdument des remerciements, il avait, pour le moment, bien l’attention de livrer la jeune femme pour empocher la somme de l’avis. Après tout il n’avait pas fait tout ça pour renoncer à l’argent.

TONY - Arrête de jouer les super héros ! Aucunes personnes n’auraient pu survivre à tes blessures, seule ! Arrête un peu de jouer les fortes têtes parce que tu n’es pas sortie d’affaire avec moi ! Je ne t’ai pas sauvé ! J’ai sauvé ma réputation et surtout mon fric !

Il observa la jeune femme se servir un verre. Ce qui étonnait Tony, c’était que Vic semblait vouloir en apprendre plus sur lui, le connaître d’avantage et plus encore. Ca le rendait d’autant plus méfiant, plus rien ne pouvait le surprendre et le fais qu’elle veuille s’approcher de lui pour le tuer plus facilement était une idée qui trottait dans la tête du jeune homme. Pour autant il ne restait pas indifférent au jeu de séduction qu’elle avait entreprit avec lui. Il plongea directement son regard dans la poitrine de la jeune femme, sans aucune gêne.

TONY - Le truc c’est de survivre… mais reste à savoir comment ? Mon truc à moi c’est de survivre au dépit des autres, comme un parasite… Et ça me va très bien ! Je suis maitre du jeu dans lequel j’évolue ! Peux-tu seulement an dire autant Vic ?! Ou bien n’est-ce pas ce cher petit Angel de mes couilles qui tire les ficelles ?!

Il repoussa la jeune femme vers le lit et se releva de la chaise. Se dirigeant vers le bar ou il reprit un verre de plus.

TONY - Et… ne m’appelle plus Anthony. Tu va rester ici pour un moment, le temps que j’éclaircisse ma situation, alors essaye de te montrer discrète, aimable et surtout ferme là ! Des questions ?

Je l'écoutais parlé et le dévorais en même temps du regard. Il était tellement sexy! Je savais qu'il voulait me " vendre " mais son plan je ferais tout pour qu'il échoue et que je retourne chez moi à mes affaires. Je souris à ses ordres et me laissa pousser sur le lit. Je fixa le plafond et me mit à rire. Je me redressa avec mes coudes et le regarda.

- Espèce d'abrutis. Je suis indépendante et personne ne tire les ficelles pas même Angel ou je ne sais qui ! Je suis un petit virus qui évolue très bien seule, Angel je lui donne des coups de mains point barre. Oh et je ne la fermerais pas. Je ne me dis pas non plus super héros bien que tu crois pas que le costume de cat woman m'irait bien ? Cuir et décolleté..

Je marcha vers la salle de bain, dos à lui je laissa tomber la chemise sur le sol et entra dans la salle de bain. Je fis coulé l'eau et une fois totalement nue je passa ma tête dans l'encadrure de la porte.

- Tu viens pas gueule d'ange ?

J'avais un sourire en coin qui me rendait irrésistible. Je lui fit un clin d’œil et me glissa sous l'eau chaude, laissant la porte ouverte. Une fois la douche pris je pris dans son armoire une simple chemise blanche qui se moouilla et devint transparente assez vite. N'ayant pas de bas je sortis de la douche.

- Oh Anthony est un coincé, je savais pas.

Je pris une bouteille d'eau dans le frigo et bus doucement. Je m'assois sur le bar et croise les jambes. Je passa ma main dans mes cheveux et je trouve le nécessaire pour refaire mes pansement.

Tony rester perplexe, il ne savait pas quoi penser de Vic, il en n’avait strictement rien à faire mais pour autant il en ferait bien son quatre heure. Elle était terriblement sexy et entièrement à sa merci. Peut-être serait-il fou de ne pas en profiter ou bien tout ceci n’était qu’un subterfuge pour le tourner d’avantage en ridicule. Il ne manqua pas l’occasion de mater la belle lorsqu’elle se dirigea vers la salle de bain. Il eut même un frisson lorsqu’elle laissa tomber la chemise. Ses courbes était tout simplement parfaite et ce postérieur ! A tomber par terre. Mais Tony n’était pas un pantin avec qui on jouait, il était maitre de ses actes, on ne pouvait pas l’appâter avec un bout de viande comme un petit toutou. C’est pourquoi il ne bougea pas lorsqu’elle l’invita à partager la douche. Il se contenta de retourner dans le séjour. Décontracté, il prit place sur un tabouret du bar face à la baie vitrée, regardant la pluie tombée de plus belle. La belle du rapidement comprendre qu’il ne viendrait pas et sortie rapidement. Mais pas n’importe comment ! Encore plus attirante ! Un immense sourire apparu sur le visage du jeune homme. Un sourire arrogant. Elle s’installa devant lui sur le bar, toujours aussi titillant sur les remarques.

TONY - Faudrait penser à faire attention à qui tu t’adresse. Je ne suis pas un plouc de révolutionnaire, on ne me commande pas, beauté !

Il se leva de son tabouret et passa sa main sur la jambe de Vic remontant très vite vers son entre jambe. Il vint coller son torse contre elle et l’embrassa sensuellement dans le cou. Sa main parcourra le ventre de la belle et d’un geste brusque il déchira la chemise pour découvrir entièrement la jeune femme. Il était animal.

TONY - Toujours envie de jouer ?!

Sans chercher à être doux ou mignon il glissa sa main sur ma cuisse pour venir la coller à une partie plus intime. Je me redressa, émoustillée. Lorsque son torse se colla à moi j'eus des frissons et approcha mon visage du sien frôlant ses lèvre. Mon cou fut remplit de bisous très sensuel, je me laissais faire avec envie. Alors que sa main parcourait doucement mon ventre sans déloger la deuxième sa chemise fit brusquement déchirer et mon corps nu se découvrit sous ses yeux. Je savais que je le rendais dingue cela se voyait !

- Toujours envie de jouer ?!
- Toujours partante tony !

Dans un geste brusque je déchira son tee shirt d'un geste tout aussi animal que le sien. Je le nargua un peu pour montrer que moi aussi j'avais de la force. Je déboutonna d'un geste son jean qui lui tomba sur les pieds et fit glisser mes ongles sur ses parties intimes avec envie.
Je colla mes lèvres aux siennes et ma poitrine à son torse. Je l'embrassais avec foule, avec envie et une pointe de violence. Je mordis sa lèvre, il saignait légèrement.

- Fais pas le fort avec moi Anthony

Je le narguais, j'insistais bien sur son prénom, je le provoquais de tout mon être. Avec mes gestes, mes ongles qui laissaient des traces sur son torse et mes dent qui se refermaient sur son cou. J'adorais ça il me rendait dingue. Mon coeur battait très vite, ma peau était brûlante tout comme celle de Tony. Avec envie et sauvagerie je lui enleva son boxer et descendant du bar, je glissais mon corps nu contre le sien. Je collait une deuxième fois mes lèvres aux siennes sans se soucier de la blessure que je lui avait fait. Je l'embrassais de façon a ce que son excitation monte le plus possible. Je le désirais il me rendait folle.

- Alors toujours envie de jouer Anthony ?

Son coeur s'emballait devenait tout aussi dingue que lui. Il me désirait comme jamais c'était ce que faisais paraitre ses gestes. Je le poussa sur son tabouret. Je m'assis sur lui en frottant mon bassin au sien d'une manière très sexy et excitante. Ma poitrine caressait son torse il ne tenait plus qu'à un fil et je voulais le rendre dingue. Je l'embrassais comme jamais je n'avais embrassé quelqu'un en collant mon corps frêle au sien. Puis d'un coup je me releva, finit par détacher ses lèvres des miennes alors que j'attrapais une de ses chemises trainant sur une chaise. Je l'enfila et me retourna. Une fois dos à lui je souris en coin.

- Bon c'est pas tout ça mais bon..

Je l'avais rendu dingue. Dingue comme surement personne au paravent ne l'avais fait car je profitais de chaque instant, de chaque gestes pour lui donner envie alors que les poufs qu'il ramenait se laissaient faire. Toujours dos à lui et face au mur je commençais à boutonné la chemise. Il avait intérêt a réagir ou sinon il signerait son arrêt de mort.

La réaction de la belle fut violente. En coup brusque ! Un craquement ! Et le jeune chasseur se retrouva torse nu devant elle. Tony avait un sourire arrogant, il adorait plus que tout qu’une femme désire son corps dont-il prenait soins avec plaisir. Mais Vic ne s’arrêta pas là, dans la foulée Tony se retrouva en boxer devant elle, avec une grosse excitation, bien visible …

L’ambiance était suffocante, électrique, animale ! Déjà la chaleur était montée d’un cran. Les deux amants était collés l’un à l’autre, sur le bar, leurs corps à moitié, nu l’un à l’autre. Vic était féline et Tony adorait ça ! Ses petites morsures, le rendait dingue. Il maintenait fortement la jeune femme sur le bar pour montrer qu’il dominé la situation. Pourtant elle ne faiblissait pas, les morsures, les griffures laissaient apparaître son côté dominatrice. La lutte ne faisait que commençait. Il eut un moment de faiblesse et elle en profita pour le déshabiller totalement. Ils étaient maintenant nu tout les deux, la peau brulante, écarlate avec la chaleur. Les lieux s’imbibaient d’excitation. Leurs baisers étaient de plus en plus torrides. Tony laissait ses mains se baladaient violement sur le corps de la belle.

TONY - Plus que jamais !

Tout s’accéléra, il se mit sur un tabouret, tandis que Vic se mit sur lui, frottant son bassin comme une féline. Il attrapa à pleine mains les fesses de la belle et les caressa avec insistance. Profitant au maximum des mouvements que lui offrait la jeune femme. Il laissa ses lèvres parcourir le coup de Vic, descendant dangereusement sur sa poitrine, mordillant sa chair pour lui rendre la monnaie de sa pièce. Mais sans s’y attendre, elle se retira de lui et fit mine de cesser l’ébat pour partir. Un instant le jeune Howkins resta sans rien dire, étonné. Le regard fixé sur elle. Mais ceci ne dura pas !
Il se releva et attrapa la jeune femme au bras, il la fit tourner sur elle-même et en un coup brusque arracha la chemise pour la retirer totalement. Il envoya balader par terre, ce qui se trouvait sur la grande table à manger et allongea la jeune femme dessus. Il se positionna doucement au dessus d’elle embrassant son ventre, remontant toujours plus haut vers la poitrine, le cou, les lèvres. Il attrapa la poignée de la belle et repris rapidement son ébat. Il était dominant, animal, en pleine puissance. L’excitation faisait gonfler toute sa musculature. La chaleur était maintenant impressionnante et des gouttes de sueur perlaient sur leurs corps nu.

TONY - Le jeux n’est pas fini, poulette !

Sans m'y attendre vraiment il me plaqua sur la table du salon, déjà mise à nue. Ma peau était brulante, alors sans retenue lorsqu'il vint à me parler après avoir parcourus mon corps de ses lèvres je mordis son épaule tout en soufflant d'excitation. Je ne me contrôlais déjà plus vraiment. Je profita d'un moment de faiblesse pour le retourner et me mettre sur lui en plantant mes ongles dans ses poignets pour qu'il ne bouge pas. Je posa mon intimité sur la sienne et commença de très intense mouvement de plus en plus rapide en laissant échappé de léger gémissements. Je mordis de nouveau son cou d'une manière plus féline, le dos creusé, mes fesses plus en hauteur tout en laissant mes mains se desserré mais je savais qu'il n'allait pas bouger car, a quatre pattes au dessus de lui je pris un plaisir dingue à frôler ses lèvres et relever ma tête dès qu'il tentait de m'embrasser. Je glissa mes ongles sur ses muscles durcit par l’excitation et les fit ensuite glisser intensément sans lui faire de mal sur son intimité qui trahissait toute son excitation. Je souris en coin comme pour le narguer. J'embrassais ses lèvres très sensuellement et de manière féline, puis son cou son torse ses cuisses et enfin je m'occupa de son entre jambe comme une " pro " souriant ds que je l'entendais soupirer du pur plaisir que je lui donnait. Je m'attardais dessus tandis que je saisissais ses chevilles de mes mains avant de revenir à ses lèvres et de prendre les choses en main. Je lui procurais un plaisir solitaire qu'il pourrait se faire seul mais venant d'une femme cela était surement bien plus différent. Je laissais en même temps, à mes chaque va et viens, glisser mes ongles le long de sa veine très gonflée. Je l'embrassais, mordais sa langue et ses lèvres, j'étais féline, une vraie tigresse et les marques sur son corps faisait voir a quel point il m'excitait. Je n'avais jamais sentie une telle attirance c'était surement car nous étions opposé. Je mordis sa lèvre plus férocement.

- Tu n'as que ça à m'offrir Mad Dog !?

La douleurs se mêlait au plaisir. Le corps du jeune homme était parsemé de griffure, de morsure se mêlant aux traces du précédent accident. Pourtant son visage exprimer une grande jouissance, elle aussi mêlée à une grosse part d’animalité et de sadisme. Ils consumaient leurs haines et leurs attirances dans leurs ébats violents. Comme deux aimants qui s’attirent et se repoussent en même temps !

Elle était sur lui, poussant à bout le jeune homme. Son corps parfait, gesticulant avec souplesses et sensualités sur lui. Tony ne pouvait s’empêcher de caresser chaque parcelle de son corps, de se délecter de chaque mouvements de bassin de la belle. Parcourant le bout de ses lèvres sucrées. Silencieux mais son visage trahissait assez bien sont niveaux d’émotions, il adorait cette situation et c’était tout à fait normal, quand on savait qu’il arrivait à ses fins sans devoirs profiter d’elle à son insu. Chaque fois qu’elle parcourait son corps du bout de ses ongles, des frissons électrisaient le corps du jeune homme. La suite fut encore plus « jouissif », la jeune femme procura des plaisirs indescriptibles au jeune Howkins. Chacune de ses morsures étaient de plus en plus forte et procurait une douleur immédiate à Tony, mais pour autant il adorait ça ! La remarque de la belle fut pertinente et fit largement sourire le jeune homme. Elle cherchait par tous les moyens à le déstabiliser.

TONY - Tu te débrouille plutôt bien pour une plouc de révolutionnaire !

Il termina à peine sa phrase qu’il se releva brusquement attrapant la jeune femme par la taille. Il l’a souleva d’une traite pour la positionnait autours de lui. Il vint la plaquer contre un des murs de la salle, envoyant out balader sur son passage ! Ses baisers étaient torrides et animale ! Ses mouvements de bassin de plus en plus rapide, de plus en plus violent. Ses mains étaient fortement agrippées aux fesses de la belle pour ne pas la laisser tomber. L'ébat était un plus chaud que tout à l'heure. Tony, arborait une expression de pur séducteur. La sueur rendait son corps comme celui de miss Silveira, brillant comme de l'eau cristalline. Les deux amants savouraient pleinement l'instant présent, dans l'excitation et la férocité...

C'en était purement finit du contrôle.
Alors que j'étais sur lui à le provoquer de tout mon être il se releva d'un coup et j'entourai mes jambes autour de sa taille.Une fois qu'il me plaqua au mur très violemment je dus me contenir pour lui dire que j'adorais ça. Très vite je sentis sa prise de mains sur mes fesses et son intimité en moi ce qui me fit lâcher un gémissement tandis que je posais ma tête contre le mur et que je m'accrochais à ses épaules. Je jouissait de toute part, ondulant à son rythme, animal et violent, mon bassin pour plus de plaisir. Je devenais dingue et je ne voulais pas que cela s'arrête. Je mordis une fois de plus son cou et laissa une grande marque, au bord du sang qui n'allait pas partir d'aussitôt. Il voulait se la jouer violence et animale ? Je ne pouvais qu'être partante puisque j'adorais ça. je griffais son dos et je réussis à échanger la tendance et le mena jusqu'au lit.

- Vraiment tu me déçois misérable traqueur..

D'un coup sec de bassin nos corps ne firent qu'un au maximum possible et il craqua en laissant échappé un gémissement. J'étais tout a fait fière et je voulais que ça continue dans cette mesure. Laissant nos corps ne faire qu'un et nos peaux transpirer. Je maintenais ses poignets sur le lit en plantant mes ongles dedans pour pas qu'il osent les bouger. Je frôlaient ses lèvres et remontait la tête d'un coup sec lorsqu'il essaie de m'embrasser. Je finis par ne pas lui donner mes lèvres et me mit droite je libéra ses mains que quand je lui donna le meilleur de moi même, de la façon la plus animale et violente possible, je donnais des coups de bassin intense, long et rapide mais surtout très sec. Mes mouvements s’accélérèrent c'était la jouissance parfaite mais alors que je voyais qu'il allait arrivé au but final je ralentis très bien le mouvement tout en étant très intense. Je mordis son pec et remonta a son oreille

- Alors comme ça on tient pas la route Little Dog ?

Je me retirais de lui laissant mon corps nu au dessus du sien juste pour que son excitation descende, je ne voulais pas que cela se termine trop vite non je voulais profiter de cet homme le plus possible. Je mordais sa peau, je caressais ses muscles, je me faisais un plaisir de dévorer son corps.

L’instant était chaud, très chaud ! Vic et Tony ne faisait plus qu’un, dans un bouillonnement de chaleur et d’extase. Mêlant leurs corps l’un contre l’autre. Tony ne retenait plus ses coups, il était totalement emportait dans l’action du moment. Totalement submergé par l’excitation et le corps parfait de miss Silveira !

Il se laissa guidait par la jeune femme vers son lit, accueillant la belle sur lui. Savourant chaque mouvement qu’elle faisait avec son bassin. C’était si bon qu’il ne voulait pas que ça s’arrête. Leurs baisers passionné et torride procurait des frissons aux deux amants. Les mouvements animale de la belle, le rendait fou. Elle se comportait exactement de la même façon que lui et bon sang, ce qu’il aimait ça ! De son côté Tony ne restait pas inactif et accélérait lui aussi ses mouvements de bassin pour procurer encore plus de plaisir à la belle.

TONY - ferme la, sale garce !

Il bascula la jeune femme sur le côté. Parcourant son corps de nouveau avec ses mains. Laissant ses lèvres glisser le long du corps de la belle. S’attardant d’avantage sur sa poitrine, son coup. Mordillant des zones sensibles, avant de reprendre ses coups de bassin de plus en plus frénétique ! La nuit s’annonçait longues…

***

Les rayons du soleil percèrent à travers les vitrages. Le visage du jeune homme grimaça. Il essaya tant bien que mal d’attraper un oreiller pour se couvrir le visage mais rien à faire, le lit était sans dessus de sous. Gisant à côté de lui, la ravissante créature, entièrement nu. La nuit de sexe qu’il venait de passer était surement la plus belle et de loin ! Il sourit naïvement, comme pour se féliciter lui-même d’avoir accomplit cela. Passant sa main sur les formes généreuse de la belle avant de se lever du lit. Il se dirigea vers la salle de bain et se passa de l’eau sur le visage avant de rester cinq bonne minute adossait au lavabo, le regard vers le miroir. Son corps était couvert d’égratignures provoquait pas la jeune femme durant la nuit. Il retourna vers la chambre, entièrement nu.

TONY - Lève toi feignasse ! Ce n’est pas un hôtel ici ! Ramasse des fringues et casse-toi ! Considère ça comme ta récompense…

C’était la première fois de sa vie, qu’il laissait repartir une des ses « proie ». Qu’arrivait-il au jeune chasseur ?

- Lè..

La porte était déjà refermée j'avais fuis, je n'allais pas resté dans son lit et je ne voulais pas non plus qu'il me vende. Mon corps était encore brûlant de nos souvenirs si chaud de cette nuit si longue. Je savourais le souvenir de l'intense plaisir qu'il m'avait donné. Je retourna dans mon loft, mes vêtements pleins de sang je les mis à la machine et comme d'habitude après avoir pris une bonne douche je me fis mon brushing, me maquilla et enfila des dessous très sexy et me baladais ainsi dans mon appartement après tout j'étais seule les volets à moitié ouvert. Je continuais d'enquêté sur la soeur de Ryanna ma chère et tendre Nicole qui m'avait donné l'exemple. A sa mort j'étais partie du bloc et je faisais cavalier seule ce qui me valut nombre de chasseur mais des chasseur comme Tony heumm j'avais je n'en avais eu. Quand je repensais au coup que je lui avait fait il ne devait pas apprécier ça. C'est lui qi foutait les filles dehors pas les filles qui se cassait sans lui implorer une autre nuit. Je souris à cela.
Je me rappela que ce soir il y avait une battle dans la boite la plus chic. Je mis alors de la musique et une tenue plus confortable et commença à danser aussi souple que la brise du vent, me pliant comme si je n'avais as d'os pour m'arrêter. J'étais gracieuse, délicieuse. Je savais que ce soir j'allais gagné un bon paquet de fric et que je me referais une belle garde robe des plus sexy. Alors que je dansais je reçus un appel essoufflée je décrocha.

- Allo ?.. oui biensur que je viens ce soir à votre battle.. Quoi quelqu'un me demandait ? Ha heu ok..

J'allais donc me faire plus de fric que prévue mais cette personne qui me demandait m'intriguais. Dans quel riche que j'allais dépouiller avais-je tapé dans l'oeil ? Ce soir allait être une soirée haute en couleur et je n'allais pas lésiné sur mon coté sexy et sur mes formes avantageuse. J'étais bien foutue avouons le, je prenais soin de moi en même temps. Je remis la musique et me remis à danser pendant une bonne partie de la journée..